Depuis combien de temps fais-tu de la photographie et comment la pratiques-tu ?
Environ 10 ans de pratique photographique. Totalement autodidacte, la bascule sur du matériel numérique m’a permis de progresser rapidement. Les différents essais sans aucune retenue ont été une très bonne école.
Mes sujets de prédilection sont la macrophotographie et la photographie de paysage généralement dans un périmètre géographique très restreint autour de mon domicile. Cela me permet de concilier vie familiale, vie professionnelle et ma passion photographique car ça reste avant tout une passion. Toutefois lors de voyages en France ou à l’étranger, l’appareil photo est toujours avec moi. Il serait trop frustrant de ne pas ramener quelques images des paysages de Corse ou du Viêt Nam.
As-tu déjà exposé tes images avant le Festiv’Art Photo ?
Et non, c’est une grande première. Mon éternelle reconnaissance aux organisateurs.
Que ressens-tu au fait de participer à la première édition d’un nouveau festival ?
De l’envie, de l’envie et de l’envie. Mais aussi de l’appréhension car c’est une première donc beaucoup d’incertitudes notamment dans la construction de l’exposition et le choix des photographies. Mais surtout de l’envie qui s’accompagne d’impatience.
En tant qu’exposant, quelles sont tes attentes de ces 3 jours d’expositions ?
Avant tout des échanges avec d’autres photographes et un public. Pour le moment, les seuls retours dont je dispose, c’est à travers les réseaux sociaux ou mon site internet. Une bonne discussion en face à face sera, je pense, plus enrichissante même si je me dois de remercier les personnes qui me suivent sur les réseaux sociaux car cette exposition, je leur la dois en partie.
Et pour finir, peux-tu brièvement nous présenter la série que tu exposeras ?
Cette série se nomme « Proche du lointain ». Elle est constituée de six duos où une macrophotographie vient répondre à un paysage soient mes deux sujets de prédilection. Un point commun, une contemplation, un lâcher prise. Pour vous donner la couleur, un extrait des textes rédigés par mon ami Olivier F Thomas et qui accompagneront les photographies.
«Le voyage est seul maître du parcours. Pourquoi vouloir comprendre, contrôler, maîtriser ? Marquez un temps. Parenthèse dans vos pensées. Doucement, laissez-vous porter. Férocement, renoncez. Surtout, ressentez. »